J'aurais aimé écrire quelque chose pour cette image, mais je n'écris rien.
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Tant qu'il y a toi, il y a une voie.
"Et surtout ne nous frappons pas, ce ne sont là que des amusettes. Pensons aux heures où, enlacés, las, dans le noir, nos coeurs peinant à l'unisson, nous entendons dire au vent ce que c'est que d'être dehors, la nuit, en hiver, et ce que c'est que d'avoir été ce que nous avons été, et sombrons ensemble dans un malheur sans nom, en nous serrant. Voilà ce qu'il faut voir. Courage donc, vieux bébé poilu que j'adore."
--Samuel Beckett
--Samuel Beckett
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高山流水—« 吕氏春秋．本味篇 »：伯牙鼓琴，钟子期听之，方鼓琴而志在泰山，钟子期曰：“善哉乎鼓琴！巍巍乎若泰山”。少时而志在流水。钟子期曰：“善哉鼓琴，洋洋乎若流水”。钟子期死，伯牙摔琴绝弦，终身不复鼓琴，以为世无足复为鼓琴者。
La Montagne, L'eau--(Lv Shi Chun Qiu) Yu Boya joue du guqin. Zhong Ziqi l’écoute. Boya suggère le Mont Taishan, Ziqi dit : « Quelle musique ! Majestieuse comme le Mont Taishan. ». Plus tard, Boya évoque des eaux. Ziqi dit : « Quelle musique ! Ruisselante comme des eaux. » Zhong Ziqi est mort. Boya a brisé le guqin. Il ne joura plus jamais, parce qu’il n’y a plus personne pour qui il peut jouer.
3 commentaires:
Un rien de ce type est déjà quelque chose
C'est la beauté de la langue, elle habille la rientitude.
Joyeux Rien!
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