Maintenant que le rythme de la vie devient un peu moins trépidant, j'ai eu le temps pour m'apercevoir que je ne peux plus supporter l'état dégradant de la salle de bain. D'une saleté qu'on ne peut plus en passer. C'est bien une des choses délicates lorsque plusieurs partagent un appartement, celle-ci n'a pas le temps, celle-là s'en fout, celle-là encore s'évite de tout engagement de nettoyage commun ou nettoie selon le mode de son état d'âme. En bref, c'est tout une comédie comme salade du jour, l'être humain est intéressant à observer. En plus d'un chien qui commence à me plaîre après les premiers jours d'entente exploratoire.
Alors agir. Quand c'est le dernier jour du mois, c'est le calendrier qui me dit qu'il faut que les choses s'arrangent un peu. Alors on est motivé. C'est dégueulasse au commencement mais il a fallut agir. Avec tous les accessoires qu'on peut s'acquérir. Plus une dose de liquide de nettoyage toute surface que j'ai retrouvé dans un coin de ma chambre : puisque j'ai fouillé. De l'eau, chose impérative. Et de la musique, calmant et soutien moral de base. Je ne peux pas faire le nettoyage sans musique. Jamais.
Libellés: In Fabula, post-it
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire