Une chose magnifique de l'Internet est qu'il permet aux bienveillants académiques de monter une grande quantité des textes (poésie, proses, romans, recueils, etc) de la Chine classique. De les lire dans n'importe quel coin sur la Terre serait un véritable délice. Dimanche dernier, j'avais envie de lire le texte de Ji Kang (poète, essayiste, musicien sous les Wei de Si Ma Qian, les théoriciens occidentaux ont écrit Xi Kang) sur le Guqin. Résultat: j'étais plongée toute la journée dans la lecture archaïque, me réjouissant du saveur idéographique.
Il y a bien des choses à en parler, mais j'aimerais vous proposer avant tout le site où j'ai trouvé des morceaux connus de Guqin (voir en bas), ce qui m'enchante infiniment. Cet "instrument des lettrés", dirait-on, incarne une Histoire et une théorie compliquées, qui se résument pas en deux lignes(je crois). En revanche, autour de cet instrument quasi-sacré, il existe bien des anecdotes touchantes qui permettraient de mieux le connaître. J'écrirais qch là-dessus.
Pour l'instant, deux articles me semblent pas mal sur le Guqin:
http://parisbeijing.over-blog.com/article-6050347-6.html#anchorComment
http://www.festival-automne.com/public/ressourc/publicat/1986chin/mcda094.htm (c'est l'un des rares sources officielles en français que j'ai pu trouver...)
Et pour ceux qui s'y intéressent, voilà le site où se trouve la musique qui aide à s'apaiser et à se concentrer (au moins c'est le cas pour moi), comme des soins spirituels :D
http://www.guqin.net/newweb/mqmq.htm
(colonne à droite, cliquez sur les caractères soulignés).
20/11/2007
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